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Un scandale en Bohême La ligue des rouquins et Le ruban moucheté

                              





     *Un scandale en Bohême:

Le sire de  Bohême,Von Ormstein, demande l'aide de Sherlock Holmes: une femme,Irène Adler, possède une photographie sur laquelle il figure avec elle. Elle menace de révéler leur ancienne relation à sa future femme, la seconde fille du roi de Scandinavie, ce qui mettrait ce mariage en péril. Pour se préserver de ce scandale, il demande à Holmes de découvrir où Irène a caché la photo et de la dérober.


        *La ligue des rouquins:

Cette fois c'est Monsieur Jabez Wilson qui demande l'aide de Sherlock Holmes après avoir intégré une certaine Ligue des Rouquins. En effet quelques semaines auparavant son jeune assistant, lui a montré une annonce où il était écrit que toute personne rousse pouvait espérer pouvoir intégrer la Ligue des Rouquins et ainsi gagner quatre pounds par semaine. Monsieur Wilson s'est alors présenté et a été engagé par un certain Duncan Ross. Sa mission est de recopier des pages de l'encyclopédie britannique de 10h à 14h. Il faut aussi ajouter que Monsieur Ross a bien insisté sur le fait qu'il devait toujours être ponctuel et ne jamais sortir pendant ces quatre heures de travail sous peine d'être licencié. Tout se passe très bien pendant plusieurs semaines mais un jour alors que Monsieur Wilson allait à son travail il trouve sur la porte une feuille annonçant la dissolution de la Ligue des Rouquins. Après quelques recherches Monsieur Wilson découvre qu'en fait Monsieur Ross s'appelle William Morris. Cette affaire devenant de plus en plus floue, il décide d'aller voir Sherlock Homes et de cette façon avec l'aide de Sherlock Holmes ils empêchèrent un cambriolage préparé brillamment par William Morris et ses complices.C'est comme sa que encor une fois Holmes et Watson on résoluent briévement cette affaire.

 

      *Le ruban moucheté:

En consultant mes notes sur les soixante-dix étranges affaires dans lesquelles j’ai étudié les méthodes de mon ami Sherlock Holmes au cours des huit dernières années, j’en trouve beaucoup de tragiques, quelques-unes comiques, un grand nombre simplement étranges, mais aucune banale ; car, travaillant davantage pour l’amour de son art que pour son salaire, il refusait de s’associer aux enquêtes qui n'avaient pas de tendance à l’inhabituel, voire même au fantastique. De toutes ces affaires, cependant, je ne m’en rappelle aucune qui ait présenté de caractère plus singulier que celle qui fut associée à la célèbre famille des Roylott de Stoke Moran. Les évènements en question sont advenus pendant les débuts de ma collaboration avec Holmes, quand nous étions célibataires et partagions un appartement dans Baker Street. Il m'aurait été possible de les raconter auparavant, mais j’avais à l’époque juré le secret, promesse dont je n’ai été libéré que le mois dernier par le décès de la femme à qui ce serment avait été fait. Il est sans doute maintenant préférable que les faits soient portés à la connaissance du public, car j’ai des raisons de penser que l’on répand des rumeurs sur la mort du Dr. Grimesby Roylott, rumeurs qui ont tendance à rendre l’histoire encore plus terrible qu’elle ne l’est réellement.

Nous étions au début du mois d’avril 83 quand je m’éveillai un matin pour trouver Sherlock Holmes debout, tout habillé près de mon lit. C’était un lève-tard par principe, et comme l’horloge sur la cheminée me disait qu’il n’était que sept heures et quart, je l’ai fixé avec surprise, et peut-être aussi un peu d’agacement, car j’étais moi-même régulier dans mes habitudes.

« Vraiment désolé de vous tirer du lit, Watson » dit-il. « Mais c’est le lot commun ce matin. Mrs. Hudson a été tirée du sien, elle a répliqué sur moi et moi sur vous. »

« Que se passe-t-il donc — un incendie ? »

« Non, une cliente. Il semble qu’une jeune dame soit arrivée dans un état de grande agitation et insiste pour me voir. Elle attend dans le salon. Or, lorsque de jeunes femmes se promènent dans la capitale à cette heure de la matinée et jettent des gens endormis hors de leur lit, je suppose que ce qu’elles ont à communiquer doit être particulièrement pressant. Si cela devait s’avérer être une affaire intéressante, vous souhaiteriez, j’en suis sûr, suivre tout ceci depuis le début. J’ai pensé, dans tous les cas, que je devais vous prévenir et vous en laisser la possibilité.

« Mon cher ami, je ne manquerais cela pour rien au monde. »



20/02/2010
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